Les Papillons
Vendredi 20 & Samedi 21 mars 2009 à 20h30
Un duo à l’humour décalé en concert au Relais
Voilà huit ans que les Papillons sont nés à Nancy, de la rencontre entre les deux auteurs-musiciens Olivier Hermann et Sylvain Asselot. Ensemble, ils écrivent des chansons qui ont la grande classe, et jouent ensuite avec un humour décalé bien à eux.
La force des Papillons est d’avoir des chansons qui nous parlent. Et du coup nous, on les écoute ! Il est surprenant de voir à quel point le public ne perd pas une syllabe des paroles. Il faut dire que chaque texte est une petite histoire, où les musiciens s’interpellent, nous font rire, nous émeuvent.
Sur scène, on découvre un groupe de joyeux complices qui avance en rangs serrés. Un quintet de frangins qui se guettent de l’œil et se sourient en coin. Les personnages se font et se défont au fil des chansons, et les musiciens revêtissent leur nouvelle peau aussi facilement qu’on retourne une chaussette.
Un duo à l’humour décalé
Voilà huit ans que les Papillons sont nés à Nancy, de la rencontre entre les deux auteurs-musiciens Olivier Hermann et Sylvain Asselot. Ensemble, ils écrivent des chansons qui ont la grande classe, et jouent ensuite avec un humour décalé bien à eux ! Du beau monde les rejoint rapidement pour participer à leurs différents disques et spectacles. Musiciens, musiciennes … qui sont restés ou repartis selon les aléas de la vie. Mais ce qui est sûr, c’est que ces deux là ne se quittent plus…
Des chansons qui trottent comme « un sourire dans la tête »
La force des Papillons est d’avoir des chansons qui nous parlent. Et du coup nous, on les écoute ! Il est surprenant de voir à quel point le public ne perd pas une syllabe des paroles. Il faut dire que chaque texte est une petite histoire, où les musiciens s’interpellent, nous font rire, nous émeuvent. Ce sont des chansons souvent hors du temps, toutes chargées d’une humanité touchante. Et ces histoires nous laissent en sortant du concert « un sourire qui trotte dans la tête »
Sur fond de film noir
Avec l’arrivée de Gaël Le Billan au Fender Rhodes et Régis Nesti à la batterie, et toujours Matthieu Loigerot à la contrebasse, les Papillons prennent une nouvelle tournure musicale. Après avoir été longtemps acoustique, les arrangements s’électrisent, offrant de nouvelles palettes de couleurs, de nouvelles ambiances. Les textes suivent ce mouvement, en prenant parfois des teintes plus sombres, comme sortis d’un film noir.
Un quintet de joyeux complices
La complicité de ses deux piliers du groupe est marquante. C’est une amitié qui transparaît quand ils chantent, mais aussi quand ils nous parlent, entre les chansons. Jamais frères ennemis, s’ils se haïssent ce ne sera que le temps de nous amuser. Et c’est cette complicité qui se démultiplie maintenant sur scène en cinq têtes ahuries. On découvre un groupe qui avance en rangs serrés. Un quintet de frangins qui se guettent de l’œil et se sourient en coin. Les personnages se font et se défont au fil des chansons, et les musiciens revêtissent leur nouvelle peau aussi facilement qu’on retourne une chaussette
Tarifs : 7€, 5€*